Dissolution finale - Fans
Alain Levy-Valensi, article dans le magazine RICTUS
L'article complet : "Un dissolvant magique ?"
"Le programme musicale de Dissolution finale comprenait une halte entre théâtre et musique ! Un spectacle dissolu volontairement, qui, avec magie et savoir faire, a entraîné le public présent dans un monde décalé. Certains ont décodé au deuxième degré, participant même au spectacle, répondant aux discours des acteurs."
Yannick Perrin, article dans le DAUPHINE LIBERE le 6-04-2013
"Place à la Dissolution Finale
En dix tableaux, Frédéric Stotz et ses musiciens remettent en lumière cette période artistique tourmentée. Inclassable et intemporelle, leur musique défie l’histoire par sa tendance punk et ses facettes contemporaines. Inspiré par le cinéma allemand d’avant-guerre, Dissolution finale est une œuvre sonore théâtralisée, un concert rock habité qui de par la remontée des extrêmes dans plusieurs pays d’Europe trouve une résonance particulière."
Micho, patron de bar-concert, Rhône-Alpes
"Combien de personnes osent aller toucher leurs limites ainsi ? S'auto-flageller, se rouler à poil par terre dans la cour des arts, s'humilier en public... Le chanteur de Dissolution Finale le fait. Un show qui se met en équilibre... sur la corde. Un show tellement habité qu'il te prend tout le corps et te transporte... Un général dadaïste déchaîné entouré d'acolytes qui ne te laissent pas plus en paix : entre un guitariste qui ne lâche rien, te balance le rythme jusqu'à te le faire entrer par tous les pores de la peau; un joueur de lames qui t'envoie des sons bizarres et inattendus pour te propulser dans une dimension musicale nouvelle; un rendu visuel avec des vidéos qui te scotchent et t'imprègnent encore et encore des images de cette histoire tordue... Il faut oser se mettre en danger... bien sur sur le show mais aussi sur le sujet. Dissolution Finale le fait avec une virtuosité néo-punk ! Merci les artistes !"
Leila Lamnaouer, article dans l'ESSOR SAVOYARD le 18-04-2013
Pierre-Cédric V., expatrié en Chine, Wuxi
"Sur American Frivolity, le violon/bandoléon/j'sais-pas-quoi donne des teintes Kletzmer et de film d'espionnage (genre le Deuxième Bureau qui trahit cyniquement son honorable correspondant, Lino Ventura, forcément, pris au piège dans un polar infernal en Syldavie pour démasquer Tintin), les cassures de rythme renvoient irrésistiblement sur Pink Floyd et le chanteur sur Clash. Je m'attendais à entendre un texte en Ashkenaze!
Sur Die Frauenschaft, les arrangements de clarinette me rappelle l'album Red de King Crimson.
L'Exécution: le rythme de loco est insoutenable, c'est vraiment l'abattoir industriel, bien vu.
J'aime beaucoup l'Automne polonais: bizarrement c'est la seule chanson où la musique n'est pas "dissolue", bien contemporaine et francophone, contrairement aux autres qu'il est difficile d'ancrer.
Ce travail me rappelle un peu certains textes de Gainsbourg qui faisait un brin d'humour sur ces évènements ignobles qu'ont subi les Juifs (S.S. in Uruguay, J'entends des voix off...). Enfin ce que j'en dis, moi, je ne suis Agitateur culturel que depuis 1979...
Je m'attendais à du Lagerfeld faisant défiler des mannequins en pyjama bayanais. Comment en êtes-vous venus à développer ce thème?!?"
Sur Die Frauenschaft, les arrangements de clarinette me rappelle l'album Red de King Crimson.
L'Exécution: le rythme de loco est insoutenable, c'est vraiment l'abattoir industriel, bien vu.
J'aime beaucoup l'Automne polonais: bizarrement c'est la seule chanson où la musique n'est pas "dissolue", bien contemporaine et francophone, contrairement aux autres qu'il est difficile d'ancrer.
Ce travail me rappelle un peu certains textes de Gainsbourg qui faisait un brin d'humour sur ces évènements ignobles qu'ont subi les Juifs (S.S. in Uruguay, J'entends des voix off...). Enfin ce que j'en dis, moi, je ne suis Agitateur culturel que depuis 1979...
Je m'attendais à du Lagerfeld faisant défiler des mannequins en pyjama bayanais. Comment en êtes-vous venus à développer ce thème?!?"
Raoul Hausmann, dadaiste
Rien ne peut surprendre d'avantage chez Dissolution finale; "tout disparaît dans les spasmes d'une originalité qui, dénuée de tout esprit créatif, donne libre cour à sa fureur dans des singeries stupides."
Loïc G., joueur de nickelharpa, Barcelone
"Ambiances étranges qui font voyager, et correspondent bien au concept de dissolution."
Pierre S., artiste peintre, L'Isle sur la Sorgue
"Un univers troublant et inquiétant ,ça doit déstabilliser plus d'un, il faut découvrir, écouter et y rentrer en se laissant envahir, plus que ça il faut décider d aller entendre. J'ai eu besoin d écouter trois ,quatre fois pour saisir une ambiance et une étrangeté qui remue les tripes et nous renvoie à un malaise de notre humanité pas si cool, j'approfondis tout ça,,,,
Chapeau messieurs car le travail nous bouscule..."
Richard C., Coach vocal, Paris
"Des qualités artistiques indéniables. Bravo !"
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 14 autres membres